Quelquefois, au mitan de cet immense bordel, on ne comprend plus. On ne s’entend pas. On dérape. Quelquefois. Cela arrive. Mais on n’est pas seul. Quand ensemble, inscrit dans le même mouvement, le soi que l’on veut, celui que voient les autres et celui qui est vraiment se rassemblent, la musique est merveilleuse. L’essentiel n’en reste pas moins la danse, que l’on offre à son monde, puisqu’il ne sert à rien de la garder pour soi.