« Le grand changement ? Les couples qui se séparent à l’amiable ne passent plus devant le juge des affaires familiales, sauf si un enfant des époux demande à être auditionné. Ce divorce n’est plus homologué par la justice mais enregistré chez un notaire. Une nouvelle procédure qui est « bien ou très bien accueillie » par 76 % des couples souhaitant divorcer. C’est surtout l’absence du juge qui a été reçue « positivement » par 84,2 % d’entre eux. Désormais, c’est l’avocat qui a un rôle central en devenant le garant de l’équilibre de l’accord trouvé entre les futurs ex-époux » (Le Parisien).